Okada Minoru« The crown it lies and it won't fall.
Lookin for a problem? You can have 'em all. »Le commencement...
◈ Âge physique : 23 ans
◈ Date de naissance : 21 février 1990
◈ Ville natale : Tôkyô
◈ Nationalité : Japonais
◈ Sexe : F { } | M {√}
◈ Métier : Mannequin et chasseur à ses heures.
◈ Arme : Arbalète
◈ Groupe : Chasseur
Qui êtes-vous ?
◈ Caractère :
C’est le sourire en coin, que Minoru vous ferra l’étalage de ses mille et une qualité, s’il vous venait un jour l’idée naïve de lui parler de son sale caractère. Grand, beau, sublime, magnifique et certainement d’une très grande modestie. Il ne manque pas d’adjectifs lorsqu’il s’agit de faire l’étalage de ses bons côtés. D’un sens de l’humour peu un peu tordu sur les bords, par moment. C’est dans un de ses grands sourires charmeurs qu’il voudra bien vous le faire oublier, s’il vous venait étrangement l’illusion que son métier lui est peut-être un peu trop monté à la tête. Faut pas croire non plus que tous les mannequins sont narcissiques et égocentriques, en fait, la généralisation est très certainement la source de tout les maux en société... Bon d’accord, il est peut être légèrement narcissique et superficiel à ses heures, mais ont ne peut tout de même pas plus lui reprocher d’avoir le physique de l’emploi et la fierté qui vient avec.
Arrogant? Peut-être et encore là, il ne s’agit que d’une autre de ses nombreuses façades. Après tout, il nous faut tous une arme pour affronter notre petit quotidien, bon ou mauvais. Dans son cas, il a décidé de s’entourer d’un brin d’effronterie, d’un semblant d’abus de confiance et d’une poussière de snobisme, pour faire le travail. Il faut dire que sa carapace, à première vue, elle pourrait sembler plutôt féroce. Toutefois, s’il vous venait à connaitre le « petit quotidien » dont il essaie de se protéger, vous ne pourriez plus vraiment lui blâmer son manque de tact. Surprise, surprise, notre petite tête enflée n’aurait donc pas toujours été si exubérante? Peut être bien, mais ça, ne compter par sur lui pour vous le raconter! Son passé? Enterré dans un coffre-fort sous trente mètres de ciment. S’il peut être le mec le plus jovial du monde, lorsqu’il s’agit de parler de son « ancien –lui » il vous ferra le coup de la douche froide et pour être froide même qu’elle est vachement froide. En résumé court? Disons qu’il a appris à contrecœur que, devenir mannequin, avait aussi son prix. Dans son cas, il l’a même payé plutôt cher.
Il s’agit là d’un sujet assez sensible, vous le remarquerez bien assez vite. Exception de son maître d’armes, il n’a pas vraiment tenu à ébruiter le mot sur sa jeunesse brisée. Il ne se considère pas comme une victime et même s’il passe son trop-plein de frustration sur tous les pauvres buveurs de sang qu’il croise, il dit à qui veut l’entendre que tout va bien. Son plus beau sourire, y compris. Ouais, mais, ça ne serait pas du grand déni tout ça? Peut-être que oui, peut-être que non, mais jusqu’à présent, ça marche plutôt bien. Parce que, une fois à la chasse, il n’y a pas vraiment place à l’apitoiement. Un petit moment de distraction et vous êtes bons pour l’enterrement. Pas le temps de rigoler avec les monstres assoiffés de sang, surtout quand tu as un si joli visage que le sien a protégé. Pour faire claire, c’est la belle vie, mêle toi de tes affaires, merci.
Le bon côté dans tout ça? Franchement, il n’y en a pas vraiment. Au fond, il lui arrive encore d’être ce gamin effrayé dans le bureau de son manager, à la merci de tous les démons. Sauf que ca, il le cache bien, croyez-moi. Méfiant comme pas deux, il recolle lentement mais surement, tous les morceaux brisés du casse-tête de sa conscience. Professionnel et surtout très perfectionniste, son chemin vers la guérissons, il se le bâtit pierre par pierre et surtout en grand tir d’arbalète. Parce qu’il n’y a pas mieux que la chasse pour se refaire une confiance brisée et ce même s’il garde encore des séquelles, dont un dédain absolu des contacts physique. Parce qu’il vaut mieux éviter de le toucher, si vous ne voulez pas finir la main dans le plâtre. Il ne rigole pas quand il s’agit de son espace personnelle, croyez-le.
Toutefois, malgré ses airs farouches, il n’est pas aussi inaccessible que vous pourriez sembler le croire et même que si vous finissez par l’apprivoiser, vous aurez peut-être droit à quelque sourire sincère de sa part. Il faut le comprendre, se méfier des inconnus, c’est son métier de prime abord. Ses véritables amis? Il les compte à peu près sur les doigts d’une main et contrairement à ce que vous pourriez croire, il les chérit encore plus que son reflet dans le miroir. Parce que, caché derrière des couches de faux semblant, le véritable Minoru, c’est le gars fidèle, courageux et loyal qui ne demande au fond qu’à être accepté comme il est réellement. L’ennui, c’est qu’il faut creuser assez profondément pour le comprendre et que sa confiance, elle est plutôt fragile. Le truc c’est de s’armer de patience et éviter de prendre ses remarques comme des coups personnels. Il est peut être farouche, mais au fond, il n'est pas différent d'un autre et cherche lui aussi l'acceptation de ses paires.
◈ Physique :
Ca va de sois, être mannequin, ce n’est pas donné à n’importe quel crétin qui décide de s’enfiler des vêtements griffés. Forcément, il a la tête de l’emploi et le physique qui vient avec. Être mannequin, c’est avant tout connaître la faim et rêver de fast-food la nuit. Heureusement pour lui, il n’a jamais eu réellement le temps de s’apitoyer sur le manque d’hamburgers dans sa vie. Le plus clair de son temps, il le passe à courir de séance photo en séance photo, de gym en gym et de vampire en vampire. Soit, avec le temps, tu te développe un cardio d’enfer, plutôt pratique pour le métier. Parce qu’avant d’être large comme un râteau à foin, il est surtout en forme comme un athlète. Ce qui n’est pas du luxe quand tes ennemis sont aussi voraces que des vautours et agiles que des vipères. Ho, et il ne parle pas du monde de la mode, mais bien des buveurs de sang qu’il décime une fois la nuit tomber.
Un chasseur talentueux, c’est surtout un chasseur qui sait rester en vie et ça, tu ne peux pas l’apprendre en écoutant Buffy à la télé. Le seul ennui dans tout ça, c’est que ses deux métiers tentent à rivaliser ensemble. Pas évidant de rester sans la moindre égratignure pour ton photo shoot du lendemain, lorsque tu te bats la veille contre des ennemis immortels et super puissants. Merci à son arbalète, il évite en général les dégâts critiques et s’est développé, par le fait même, une vue quasi parfaite.
Vestimentairement parlant, c’est la que ça commence à se corser. Monsieur est un véritable fashionista quand il s’agit de s’habiller. Pas de vêtements bon marché pour lui, seulement de la haute couture et du griffé. Il trouve même le moyen de coordonner ses vêtements quand il s’en va chasser. Victime de la mode ou non il garde, malgré tout, sa petite touche personnelle dans chacune de ses tenues. Petite touche personnelle, tels ses nombreux piercings corporels, qui ferrait surement grincé les dents de bien des designers.
Ses cheveux sont pour lui, un autre sujet de discorde. Présentement déteint au maximum, il les change généralement au gré de ses envies et humeurs. Plutôt changeante si vous voulez l’envie des ses employeurs. Il se garde aussi un petit côté tendre pour les cosmétiques et le maquillage, un autre vice humain qui lui donne pourtant tant de charmes. Un mannequin se doit d’être à son meilleur en tout temps et ce même s’il devrait plutôt chercher à cacher sa présence dans les lieux publics. L’anonymat? Ce n’est pas sa tasse de café, tout le monde sait bien que les lunettes de soleil, c’est pour frimer!
Il ne faut tout de fois ne pas non plus sous-estimer le chasseur qui se cache derrière l’ombre à paupières et les grands noms de designer. S’il aime l’attention des grandes vues, il se passe tout aussi bien de celle des sangsues la nuit et sait se montrer très discret à ses heures. Heureusement, parce qu’il préfère généralement éviter tout contact physique avec ces monstres de la lune. Ça et avec pratiquement tous les humains et non-humains de la planète. Plutôt contradictoire pour un gars qui aime l’attention, non? Certes, mais quand on a affaire à Minoru, rien n’est jamais facile!
◈ Signe Distinctif :
FacultatifD'où venez-vous ?
◈ Les vampires ? : Il y a encore quelques années de cela, Minoru n’avait pas la moindre idée des bêtes monstrueuses qui hantait les rues la nuit. Ironiquement, bien qu’il n’est jamais eu de contact direct avec eux par le passé, il se retrouve aujourd’hui à les chasser une fois les étoiles sorties. Franchement, il ne les déteste pas plus qu’il ne les aime. Pour lui, ils ne sont que de vulgaire bête à l’apparence humaine. Il connait bien le pouvoir de leurs mots et surtout des canines qui cerne leurs lèvres et personnellement il est bien content de les achever avant que le moindre son en sorte. Pour lui, ce deuxième métier s’est imposé un peu comme un remède à son passé trop douloureux pour les mots. S’il n’avait pas rencontré son maître d’armes, qui sait s’il serrait encore ici aujourd’hui. D’un certain angle, ces sangsues à qui il arrache la vie chaque soir sont aussi les même qu’ils lui ont redonné la force de vivre. Toutefois, ce n’est pas une bonne raison pour s’apitoyer sur leurs sorts. Les véritables victimes sont les cadavres qui s’empilent à leurs pieds et qui sait qu’il est bien placé pour le savoir…
◈ Histoire :
Minoru n'a jamais été très doué, lorsqu’il s’agissait de parler de lui. Du plus loin qu’il se rappelle, après ce « fameux » accident, il s’est toujours entêté à s’enfermer dans cet éternel mutisme, qui en avait agacé plus d’un. D’où il venait, comment il avait commencé, ses expériences, toutes ces petites choses banales, mais qu’il s’était toujours entêté à taire comme un soldat en sale de torture. Certains en riaient, disait qu’il était peut-être, au fond, du type gêné. D'autres, charmés s’imaginaient qu’il jouait la carte de l’homme mystérieux et ténébreux, sortant direct d’un de ces livres Harlequin que les femmes aimaient tant. Il y en avait même qui, offusqué, l’avait jugé trop snob pour partager ses histoires, qui de toute façon, devaient être banalement ennuyantes. La vérité c'était que, si parler avait alors pu cicatriser ses plaies, c’est à cœur joie qu’il aurait hurlé sur tout les toits son histoire infernale. Au contraire, chaque mot prononcé lui donnait l’impression de digérer des litres d’acide et chaque souvenir revenait à lui comme un coup de poignard entre les reins. C’était alors pourquoi, d’un simple sourire, il balayait les questions gênantes, comme le vent balayait les saletés dans les rues... Même si au fond de lui, lorsqu’il fermait les yeux, son passé se déroulait derrière ses paupières comme une mauvaise série américaine pour adolescents. À la différence prête qu’il n’avait pas encore connut sa propre « happy ending ».
Ce qui était ironique dans tout ça, c’est que ces grandes vedettes qui passaient dans ses émissions à deux balles, il les avaient un jour enviés. Toutes ces célébrités dans les revues aux grand sourires blancs, il avait lui aussi voulu leur ressembler. Il était jeune, si naïf. Il voulait ses cinq minutes de gloires, qu’on le pointe du doigt dans la rue en criant son nom. Ces beautés plastiques qui posait pour les photographes en tenus griffés, son plus grand rêve, c’était un jour de leurs ressembler. Heureusement pour lui, maman était là, maman avait toujours été là… Ou du moins avait essayé d’être là. Elle l’avait soutenu dans sa quête incessante de gloire et encouragé à décrocher sa place parmi les étoiles des revues glamour. Certes, avoir une jolie tête, ça lui avait toujours ouvert des portes. Ce qu’il n’avait pas compris alors, c’est qu’une fois franchie, elle se refermait derrière lui et l’embarrait à double tour.
Dès le départ, il avait eu son petit succès. Quelque séances photos par si, quelque publicités par la. Avare, il avait toujours eu les yeux plus grand que l’estomac. Jamais assez de contrats, jamais assez de travail. Cela enchantait certes sa mère, qui n’avait jamais vu son fils aussi passionné par quelque chose en dehors de son miroir et sa garde-robe. Non sans parler qu’elle eût maintenant de quoi se vanter aux voisines du quartier. Le véritable point tournant de sa carrière se déroula néanmoins quelque année plus tard, lorsqu’il signa son premier contrat avec une agence de mannequins. Ce qu’il ne savait pas encore là, c’était que le succès n’était jamais gratuit et qu’il venait aussi avec sa part de responsabilité. Sauf que, lui, il s’en gardait la surprise pour plus tard. Deux ans après, pour être plus exact, l’année même de ses 17 ans.
Encore jeune, plein de rêve. Il se dévouait corps et âme à son métier, sa passion. Certes, les horaires étaient éreintants, mais il voulait bien sacrifier toute les années de sommeils possibles pour n’avoir ne serait-ce que cinq petites minutes de gloire devant la lentille d’un appareil photo. Passionné, il l’était, même qu’il ait du faire quelque arrêt à l’hôpital après s’être surmené au travail. À cette époque, il était encore heureux, innocent, mais heureux. Peut-être est-ce pourquoi le destin à décider de lui jeter au visage la dure réalité de la vie? Va savoir, tout ce qu’il sait, c’est que la fortune à décidé un jour, tout bonnement, de le quitter et c’est à peu près à ce moment que tout à commencer à se briser.
C’est à sa porte que la malchance avait alors décidé de cogner. Prenant l’apparence de son manager, elle décida de souiller tout ce qu’il avait mis tant d’années à bâtir. Sa fierté, son honneur et sa jeunesse, tout s’est envolé dans l’espace d’une soirée. Un cauchemar qui le hante encore aujourd’hui, qui aurait pu croire que ceux en qui il avait le plus confiance pourrait un jour le trahir? Parce que, cette soirée-là, le démon ne s’était pas contenté de briser son corps, mais aussi son âme. Le plus cruel dans tout ca, c’est qu’il n’avait même pas réussi à se résoudre d’en parler à sa famille. Parce que ce rêve, il n’était pas seulement le sien, mais aussi toutes les années et le travail conjugué de sa mère et de ses proches. Quel genre d’hypocrite serrait-il pour briser tous ces rêves, par la faute d’un simple pervers? Oui, il était encore si naïvement imbécile et surtout convaincu que le silence finirait par tout effacer. Ironiquement, c’est à cette époque que sa carrière atteint son sommet.
Avec l’âge, son mutisme s’est transformé en véritable muraille imperméable et surtout impénétrable. Une poupée en porcelaine, charmante pour les yeux, mais surtout vide à l’intérieur. Va savoir ce qu’il serait devenu aujourd’hui, si la chance n’avait pas décidé de pointer son nez de nouveau. Cette fois si, elle prit la forme de sa bonne étoile, Seiichirô. Un homme juste et déterminé qui avait réussi, par une étrange sorcellerie, à rallumer cette flamme éteinte au creux de son regard. Cette avec cette même aisance qu’il avait aussi réussi à briser sa méfiance, comme ont brisait les murs d’un simple château de cartes. L'homme le fascinait d’autant plus de par sa prestance, que par ses lourd secrets. Ce fut alors qu’il lui ouvrait les yeux sur un monde jusqu’à présent inconnu, qu’il fit ses premier pas vers sa guérissons et peu être un jour l’acceptation.
Les vampires. Le calvaire des humains et peut être bien son unique rédemption. C’est dans le monde nocturne qu’il se fit enfin sa propre place. Un univers où ce qu’il était, ou avait été, n’avait plus aucune importance. Étrangement, c’est dans la chasse qu’il apprit à recoller les morceaux de sa confiance brisée. Il se reprit en main, refusant de porter plus loin le fardeau des victimes de crime et d’injustice. Cette époque si terrible, il ne l’a peut-être pas oublié, mais à du moins appris à vivre avec. Il sera, d’ailleurs, éternellement reconnaissant à son maître d’armes, le seul qui jusqu’à ce jour connait sa véritable histoire. Une récit férocement caché, encore aujourd’hui. C’est l’arbalète a la main, qu’il décharge ce trop-plein de rage contre ce lui révolu, source de nombreuses frustration et mélancolies. Le mannequinat dans tout ça? Il fait encore partie des grands noms du milieu, ne vous en faites pas pour lui. Certes, son succès garde encore un gout amer, mais il veut bien croire qu’un jour il partira, comme les derniers souvenirs de son passé révolus.
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◈ Âge : Top secret, pff.
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◈ Présence sur 7 : Les vacances bientôt, bientôt. Résultat, jai du temps à perdre. Tadaaa, cinq sur sept?!
◈ Comment avez-vous connu le forum ? Ennuyé des forums coréens, c'est un gros hasard, en fait. J'ai toujours eu le coeur tendre pour le vk. Alors me voici, me voilà!
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